L´Union fait la force!
L’exploitation abusive, l´oppression et l´anéantissement de divers êtres vivants ainsi que l’altération et la destruction de leurs habitats constituent les principaux problèmes sur la planète. Ils sont causés généralement par la poursuite sans scrupules de profits financiers et d´autres avantages personnels. Pour en finir avec ces problèmes, les forces disponibles des personnes altruistes motivées partout dans le monde doivent être rassemblées et coordonnées. Ceci peut créer la pression nécessaire pour résoudre ces problèmes sur les individus les ayant provoqués, d´autres bénéficiaires et leurs alliés politiques. Ce n’est qu’ainsi que le renouveau éthique indispensable pour la société pourrait être réalisée et que la préservation d’une biosphère diversifiée serait assurée à temps. Les forces nécessaires pour ce projet crucial pour la vie sur Terre existent déjà, mais elles sont largement dispersées à travers le monde.
Beaucoup de personnes fort motivées se regroupent dans le mouvement environnemental au sens le plus large. Cependant, leur séparation selon les thèmes de la protection des animaux, de la nature et de l’environnement au sens strict, affaiblit nombreuses initiatives des associations spécialisées sur ces sujets respectifs et agissant de manière indépendante les unes des autres. Cette fragmentation des forces engagées dans la protection de diverses vies menacées en groupes et mouvements isolés est sans doute la cause de leurs rares succès importants et des tristes bilans suivants: La survie de l’humanité sur Terre est aujourd’hui moins probable que lors de l´apparition du mouvement moderne de la protection de l’environnement dans les années soixante. Depuis le début de la protection des espèces en voie de disparition il y a quelques centaines d’années, de plus en plus d’entre elles ont été perdues pour toujours, ces pertes ayant explosé dernièrement. Bien que des associations pour la protection de la nature existent depuis plus de cent cinquante ans, d’innombrables paradis naturels ont été détruits par l’homme au cours des dernières décennies seulement. Jamais auparavant autant d’animaux n’avaient été persécutés, emprisonnés, torturés et tués brutalement sous des conditions scandaleuses, comme ils le sont aujourd’hui. Ceci, malgré l’histoire de la protection organisée des animaux qui milite depuis près de deux cents ans.
Comme dans le mouvement environnemental au sens le plus large du terme, les nombreux partisans du mouvement social beaucoup plus large et diversifié que le premier, sont divisés en groupes agissant séparément. Rares sont leurs actions concertées et leurs échanges d’expériences, malgré les effets positifs dont ils pourraient bénéficier. Les contacts entre les personnes qui s´engagent par exemple pour des orphelins en Afrique, avec celles qui s’occupent de minorités ethniques menacées ou celles qui soutiennent les victimes de mines sont plutôt occasionnels, malgré que les problèmes de leurs protégés respectifs aient souvent les mêmes causes. En raison de cette division en associations spécialisées sur différents thèmes du domaine social, nombreuses d´entre elles se limitent à lutter contre des symptômes de problèmes majeurs, au lieu d´affronter ensemble leurs vraies causes, pourtant vivement critiquées par beaucoup d’entre elles. Comme dans la protection de l’environnement au sens large, les problèmes qui se posent dans le domaine social augmentent malheureusement pour cette raison, au lieu de diminuer.
Ceci n’est point une coïncidence, mais lié au fait de l’interdépendance fréquente des problèmes sociaux et écologiques. Par conséquent, les personnes, les autres êtres vivants et leurs habitats naturels devraient être protégés conjointement des dangers qui les menacent. L´union des personnes qui sont déjà engagées dans la protection de l’environnement, de la nature ou des animaux, ou intéressées par ces sujets, avec des personnes engagées souhaitant aider des groupes spécifiques de personnes dans le besoin, est indispensable pour s’attaquer avec succès aux problèmes les plus graves. Cependant, une telle union efficace nécessite à la fois des efforts de la part des personnes engagées et des associations compétentes. Cela suppose que les supporteurs reconnaissent les liens entre les problèmes écologiques et sociaux ainsi que la complexité de leurs causes et s´intéressent à des sujets jusqu’alors ignorés. Cela exige aussi la fin des cultes de la personnalité et des ambitions égocentriques qui sont fréquents dans les administrations des associations à but non lucratif et affaiblissent beaucoup de leurs initiatives.
Contrairement aux domaines économiques, culturels ou sportifs, où les succès personnels peuvent le plus souvent être mesurés, le secteur à but non lucratif offre beaucoup de possibilités d’exceller sans performances personnelles. Ceci explique son attrait pour les individus qui souhaitent peaufiner leur image avec le moindre effort possible. C’est la raison pour laquelle des représentants de la politique, du monde artistique, de la société et quelques patrons mondains défilent souvent en grande tenue avec leurs accompagnements lors des évènements caritatifs suffisamment couverts par les médias et aux buffets bien garnis.
Malheureusement, de tels rassemblements prestigieux détournent l’attention des vrais problèmes et de la recherche de solutions durables pour ceux-ci. L´union de personnes très différentes qui s´engagent déjà dans une ou plusieurs initiatives caritatives exige leur ouverture d’esprit face à celles venues d´autres secteurs et de leurs centres d’intérêts. La diversité des personnes actives dans les mouvements sociaux et environnementaux, ainsi que les différentes capacités et expériences disponibles au sein de ces mouvements, ouvrent des opportunités pour des apprentissages mutuels et des synergies précieuses. Une telle ouverture d´esprit est toutefois incompatible avec les cultes de personnalités, qui survivent uniquement par leurs contrôles des adeptes et leur isolation face aux influences imprévisibles venant de l´extérieur. Seule l’abolition de ces “cours” privées qui servent de scènes aux représentants d´associations à but non lucratif dont ils abusent, peuvent créer l’espace nécessaire aux prises de décisions démocratiques et à l´épanouissement de l’intelligence collective.
Intelligence collective au lieu de paternalisme!
En dépit de leurs budgets gigantesques, leurs divers instruments juridiques et de nombreuses décennies d’expérience, même les organisations internationales les plus grandes et les plus influentes sont soit inadaptées, soit incapables d’atténuer, et encore moins de désamorcer les problèmes qu’elles sont censées résoudre, telles que la pauvreté, les guerres et les dégradations de l’environnement. Bien au contraire, ces fléaux et d’autres maux de notre société ne cessent de s’aggraver depuis la création de ces puissantes institutions! La distribution arbitraire du pouvoir au sein de celles-ci ainsi que se leurs conflits d’intérêts, qui résultent de leur concentration massive de pouvoir et de leurs prises de décisions concernant d´énormes investissement financiers, sont les causes de leurs échecs réguliers.
Au sein des Nations Unies, les principaux contributeurs ont tendance à imposer aux autres nations la voie à suivre, ainsi que les nominations à tous les postes importants. Tous les projets proposés par son Assemblée Générale, qui ne sont pas acceptés par un ou plusieurs membres permanents de son Conseil de Sécurité, sont immédiatement rejetés par le biais de leurs droits de veto dépassés. En outre, les états riches font valoir leurs intérêts, le cas échéant, par le support des votes de pays pauvres en contrepartie d´investissements financiers dans ces pays. Ainsi, l’ONU n´est qu´un instrument très coûteux des pays puissants, qui veulent se donner un aspect démocratique pour le grand public.
L’OTAN est devenue l’un des principaux belligérants du monde en contradiction totale avec le rôle qui lui fut assigné jadis en tant que gardien de la paix. Elle n’a même pas hésité à utiliser des munitions radioactives fort problématiques lors de ses attaques militaires contre la Libye!
L’Union Européenne suit la politique de l’OTAN depuis ses débuts avec obéissance anticipée. Elle a délégué la formulation de textes légaux européens à une industrie partiale, dont elle défend les intérêts. Plus inquiétant encore, elle s´impose une sélection négative en fournissant des postes clés au sein de son administration à des politiciens qui ont lamentablement échoué dans leurs pays membres et ont ensuite été parachutés au centre du pouvoir en Europe.
L’Organisation Mondiale de la Santé est également exposée à de puissantes influences émanant de lobbies industriels et représente surtout les intérêts de grandes sociétés pharmaceutiques, plutôt que ceux des masses souffrant de maladies dans les régions pauvres ou en voie de développement.
Les grandes organisations commerciales et financières internationales ne sont pas non plus disposées à résoudre les grands problèmes sociétaux faisant partie de leur domaine de compétence. Au contraire, elles les aggravent en contribuant de manière significative à la répartition de plus en plus injuste des richesses, à la propagation mondiale et à l’enracinement durable de la pauvreté, ainsi qu’à l’accumulation de montagnes gigantesques de dettes difficiles à réduire, même à long terme.
Afin de s´engager dans la bonne voie pour l’avenir, toutes les institutions bloquées à cause de leur partialité ou incapacité et portant des préjudices à la biodiversité ou à la qualité de diverses vies, doivent être remplacées par de nouvelles structures à la fois efficaces et engagées dans la protection durable de la biosphère. Les réformes d’institutions internationales établies de longue date ne seraient pas opportunes en raison de l’incompétence et des conflits d´intérêts de nombreux de leurs employés, qui les ont souvent intégrés au moyen de réseautage ou de protection politique. Compte tenu des dimensions et de l’urgence des grands problèmes actuels, il ne reste que peu de temps pour le remplacement des organisations inefficaces. Pour initier les changements de cap indispensables au plus tôt, il est urgent de construire des structures appropriées, plus compétentes et plus engagées, qui ne soient pas affaiblies par des conflits d’intérêts. Cette tâche importante ne peut être accomplie que par une communauté internationale indépendante et suffisamment large, dévouée à résoudre les principaux problèmes sociaux et environnementaux. LIFE UNION est fermement résolue à participer activement à l´élaboration de solutions aux nombreuses misères de notre société en devenant une plate-forme globale politiquement indépendante. Grâce à de nombreux supporteurs, des problèmes brûlants pourraient y être analysés, publiés et résolus conjointement.
Ceci pourrait être mis en œuvre grâce aux connaissances et aux compétences de nombreuses personnes dévouées issues de cultures et de nations différentes. Une telle union réunirait le plus d´informations objectives, de capacités, la plus grande motivation et l’approche interculturelle nécessaire. L’intelligence collective et le ferme engagement d’une communauté internationale, qui n´est pas influencée par des motifs politiques ou économiques, pourrait montrer à l´humanité le chemin vers un monde meilleur, que les puissants lui refusent à cause de leurs intérêts égoïstes.
Plus d’influence pour les femmes!
D’innombrables biographies et statistiques indiquent que les femmes ont plus de responsabilité et une plus grande considération à l´égard de la vie que les hommes. L´aide désintéressée pour divers êtres vivants dans le besoin est fournie dans la plupart des cas par des femmes. Grâce au comportement d’achat critique de nombreuses femmes, qui acceptent des prix plus élevés pour assurer la protection d’animaux et de l’environnement menacés, les marchés de produits écologiques et respectueux des animaux sont en plein essor.
En revanche, les hommes dominent clairement tous les événements où des êtres vivants peuvent subir de sérieux risques. Ceux-ci incluent toutes les activités liées à la violence telles que les guerres et les conflits armés, l’extrémisme politique et les crimes, mais aussi les violences lors de manifestations et la circulation routière, les massacres de créatures diverses, la chasse et la pêche, jusqu’aux accidents de route, les sports extrêmes, les arts martiaux et beaucoup d’autres activités à hauts risques.
Cette différence entre ces deux sexes a des causes biologiques et culturelles. Ainsi, la plupart des femmes portent la vie future dans leur ventre pendant neuf mois et prennent ensuite soin de leurs enfants pendant de nombreuses années avec beaucoup de dévouement et d´amour. Bien que la protection maternelle de la vie vulnérable des enfants soit partiellement contrôlée par leurs hormones et que ces dispositions génétiques soient probablement présentes dans presque tous les corps féminins, les expériences acquises au cours de la bienveillance pour la propre progéniture renforcent la compassion pour les vies vulnérables. À cela s’ajoutent le rôle des soins et la responsabilité vis-à-vis des petits enfants, qui est souvent délégué aux jeunes filles par leurs familles et la société et encore largement laissé aux femmes. Il ne faut pas non plus oublier le désir féminin d’harmonie qui assurait jusqu’il y a peu la cohésion de la plupart des familles, y compris dans les sociétés modernes, et offrait ainsi un modèle plutôt efficace pour un développement équilibré des enfants jusqu´à l’âge adulte. En revanche, beaucoup d’hommes manquent de sentiments de protection de la vie en danger, qui sont bien plus développés chez les femmes. Il est possible que les rôles assignés aux adolescents masculins en tant que futurs soutiens et protecteurs de la famille et de la nation contre des ennemies potentiels, aient une grande influence sur leur comportement moins émotionnel. En plus d´impliquer leur volonté de prendre des risques pour leurs vies et de recourir éventuellement à la violence, ils présupposent également une certaine imperméabilité émotive facilitant une dureté à l´égard autrui.
Compte tenu de ces rôles archaïques, mais toujours actuels, et des différences physiologiques entre les sexes, il semble qu’une plus grande influence des femmes permettrait de mieux protéger les êtres vivants exploités abusivement et en danger. De toute évidence, les femmes sont naturellement plus aptes à gérer des projets durables exigeant beaucoup de respect et de compassion. D’autant plus qu’elles prennent en général la responsabilité plus au sérieux que les hommes. C’est la raison pour laquelle les décideurs, les administrateurs et toutes les entreprises prévoyantes feraient bien d´attribuer le plus grand nombre de postes clés à tous les niveaux à des femmes brillantes et empathiques. D’une part, cela constituerait un grand pas en avant pour dédommager les femmes pour les nombreux désavantages qu´elles ont du endurer dans leurs vies professionnelles. D’autre part, cela profiterait à d’innombrables personnes, animaux et plantes, qui seraient ainsi épargnés de nombreuses souffrances et destructions.
LIFE UNION vise un pouvoir réel pour les femmes afin de mieux protéger toutes les créatures harcelées et persécutées par les humains. L’opportunité du libre développement des forces féminines pourrait même être la dernière chance pour la diversité naturelle et la survie de l´humanité sur Terre!
Transparence face à la vie
L’avenir de la vie sur Terre est beaucoup trop important pour le confier entièrement à des intérêts discutables d’hommes politiques, de fonctionnaires et de patrons de grandes entreprises, ainsi qu’à des associations dépendantes de ceux-ci. Les règles relatives au traitement d´êtres vivants ne doivent pas être déléguées à des “experts” souvent autoproclamés, sans aucune responsabilité, agissant en catimini en excluant tout débat public. Non seulement ces décideurs manquent de toute responsabilité légale pour leurs décisions de grande portée, mais également des connaissances nécessaires et de visions à long terme. En outre, même les vrais experts sont souvent sujets à des conflits d’intérêts, qui empêchent d’avance toute durabilité et tout respect lorsqu’ils décident des destins d’autres créatures. En effet, la gestion et l´exploitation d´êtres vivants rapportent beaucoup d’argent dans la plupart des cas.
La commercialisation d’espèces en voie de disparition est particulièrement problématique et lucrative. D’une part, de nombreux animaux souffrent dans ce secteur économique important au cours de leurs persécutions et mises à mort, ainsi que lors de leur maintien en captivité et leurs transports. D’autre part, la survie de certaines de leurs populations, voire de leurs espèces, est parfois mise en jeu. Ce double problème découle de l’utilisation et du commerce de spécimens et de produits d’espèces d´animaux menacées. Selon les déclarations répétées d’institutions de protection de la nature, ce commerce génère des bénéfices comparables à celui des stupéfiants! Il ne faut donc pas s´étonner de voir des lobbyistes du monde des affaires grouiller lors des conférences internationales, où les droits et quotas légaux d´exploitation concernant des espèces menacées par le commerce international sont négociés souvent de manière coloniale et où commencent de nombreux pillages de la nature. Sous leur influence fut possible la manœuvre tout aussi cynique qu´ingénieuse de présenter ce commerce risqué sous la supervision de la Convention de Washington des Nations Unies sur le commerce international des espèces de faune et de flore en voie de disparition (CITES), comme instrument essentiel pour le développement et la conservation de la nature dans les pays d’origine. Ceci malgré le fait, que la plupart de ces transactions exploitent la nature de pays pauvres au profit d´industries de produits de luxe dans les pays riches!
Les grands chiffres d´affaire dans de nombreux segments du commerce des espèces menacées ont suffit à certains employés d’associations de protection de la nature et à des écologistes embauchés pour soutenir ces exploitations discutables en faisant preuve de mauvaise foi. Ce faisant, ils ignorent délibérément la leçon la plus importante de l’écologie et enfreignent la règle qui en découle, selon lesquelles les nombreuses dépendances fragiles, ingérables et souvent méconnues entre différents membres des écosystèmes imposent la plus grande retenue lors des interventions humaines. L’exploitation et la commercialisation en cours d’espèces menacées, qui se déroule au détriment de l´humanité et des peuples des pays d’origine en particulier, ainsi que l’appauvrissement inévitable et la perturbation des écosystèmes naturels au profit principal de revendeurs peu scrupuleux et d´intermédiaires corrompus, sont des problèmes majeurs.
La transparence est également nécessaire dans toutes les entreprises décidant sur la vie et la mort d’autres êtres vivants. Elle devrait s’appliquer à des secteurs très divers, tels que les industries de l’élevage et de la pêche, des produits agrochimiques, à l’agriculture et la foresterie ainsi qu´à l’industrie pharmaceutique. Par manque de transparence, les grands acteurs dans ces secteurs réalisent des profits énormes aux dépens de créatures sensibles appartenant en partie à des espèces menacées, dont le triste destin souvent fatal est caché au public.
Information au lieu de manipulation
Très probablement, des individus plus ou moins puissants ont depuis toujours manipulé des humains dans leurs sphères d’influence pour renforcer leurs positions et faire valoir leurs propres intérêts contre ceux des congénères ou des peuples. Toutefois, la manipulation ne fonctionne que si leurs victimes ignorent le sujet respectif. Une telle ignorance ne peut persister chez les personnes mentalement indemnes que si on leur masque la réalité avec un manque de transparence, si on les prive d´information pertinente, ou si l´on détourne leur attention. Notre société, qui repose essentiellement sur l’exploitation des plus faibles, ne survit que grâce à l’ignorance de la plupart des gens en ce qui concerne les relations problématiques avec les êtres vivants exploités et leurs destins dramatiques. Un débat public approfondi sans tabous sur les problèmes cruciaux de notre société mettrait en danger des gouvernements et bouleverserait l’économie. Par conséquent, beaucoup d’établissements d’enseignement et des faiseurs d’opinions cultivent l´ignorance sélective des peuples concernant les thèmes sociocritiques. Les politiciens et les médias agissent en tant que gardiens suprêmes de cette ignorance pour protéger des intérêts douteux au sein de notre société de consommation déchaînée. Toutes les personnes qui ne sont pas pleinement occupées avec leurs luttes quotidiennes pour survivre ou avec leurs états d´âme et loisirs et qui se soustraient ainsi à l’influence des médias, sont distraites par des trivialités des innombrables attaques contre des humains et la nature. De nombreux représentants des médias, au même titre que les politiciens, souvent proches d’eux, n’hésitent pas non plus à propager de fausses nouvelles, s´ils les jugent avantageuses. Ils existent surtout pour servir les puissants et sécuriser les positions de ceux-ci, leurs parts de marchés et leurs votes en manipulant les peuples. Les médias de masses reçoivent en échange des commandes généreuses pour des publicités, des subventions et d’autres privilèges qui faussent le marché des médias aux frais des petites entreprises médiatiques et du grand public. Des avantages immédiats pour ces deux participants à cette manipulation des masses surgissent lorsque de puissants acteurs politiques ou économiques apportent occasionnellement des contributions éditoriales toutes faites, qui sont publiées par les médias, quel que soit la véracité de leur contenu, leur évitant des recherches coûteuses. La collaboration entre responsables politiques et représentants des médias pour manipuler les masses est parfaitement rodée. Elle donne lieu à un système bien lubrifié d’avantages mutuels pour ces deux pôles de pouvoir, au détriment de la transparence, de la démocratie véritable ainsi que de l´avenir de l´humanité et de la biosphère. Ces conséquences néfastes doivent être empêchées le plus tôt possible. C’est pourquoi LIFE UNION veut lutter avec l’aide de personnes dévouées contre la manipulation omniprésente des citoyens et leur oppression mentale.
Pour cela, le principal instrument est l’information ciblée des populations au moyen d’analyses et de recherches approfondies, qui éclairent aussi les arrière-plans importants des problèmes et exposent les conflits d’intérêts désastreux. Une telle information est indispensable pour la mise en œuvre ultérieure de solutions réalistes aux aberrations catastrophiques de la société humaine. Ces solutions sont étudiées, développées et présentées aux personnes intéressées pour préparer leur application. Cela implique une analyse détaillée et une évaluation objective des problèmes majeurs. Au vu de la vitesse des destructions irréversibles en cours et du peu de temps qui nous reste pour les stopper, ses ressources limitées obligent LIFE UNION à faire une sélection bien fondée de grands problèmes qui doivent être résolus en premier. Sans de telles priorités bien choisies, existe le danger d’investir toutes les ressources disponibles dans la lutte contre des problèmes secondaires et de tout perdre. Dans le cas extrême, un faux choix de priorités pourrait s´avérer fatal. Afin de prévenir ces risques, une objectivité maximale est essentielle dans l´analyse et l’évaluation des problèmes divers, ainsi que dans la sélection et la conception de solutions appropriées. Une telle objectivité mène à des priorités bien fondées et à des procédures efficaces, augmentant ainsi les chances de succès durables. L’objectivité n’a pas seulement poussé LIFE UNION à se focaliser sur les pires injustices et les plus grands dangers qui menacent la vie sur notre planète. En outre, son approche d´aller au fond des problèmes et de lutter contre leurs véritables causes, s´impose par objectivité. L´approche objective tenant compte des interrelations complexes entre les causes de grands problèmes exige une stratégie adaptée à celles-ci, avec des efforts simultanés au niveau mondial pour protéger les personnes, les animaux, les plantes et leurs habitats naturels menacés, ainsi que l’environnement malmené.